Chaque semaine à Aucamville, Castelginest, Gargas et Pechbonnieu, des chrétiens prient le chapelet. Une pratique vieille de 800 ans qui consiste à réciter des Avé Maria tout en égrainant entre ses doigts les 50 grains du chapelet. Simple et efficace.
« Osons nous tourner vers notre Mère, la Vierge Marie. Portons-lui nos joies et nos peines. Jésus s’est incarné par cette jeune fille qui a dit « oui » et Marie est la mieux placée pour nous conduire à son Fils ». Ainsi les équipes du Rosaire proposent des temps de prières contemplatives que l’on appelle « chapelet » ou « Rosaire ».
Afin de rendre cette prière répétitive plus aisée et en lien avec les préoccupations des femmes et des hommes d’aujourd’hui, chaque équipe y ajoute une touche personnelle : certains proposent de chanter des cantiques qui servent de respirations entre les prières scandées ou utilisent des supports différents (icônes, vitraux…). Des intentions personnelles sont également portées. Il est aussi possible de ne méditer qu’une partie du Rosaire selon le temps dont on dispose.
Chaque chapelet médité correspond à une étape de la vie de Jésus : les « mystères joyeux » rappellent l’enfance de Jésus, les « mystères lumineux » évoquent des moments essentiels de sa vie et fondateurs de l’Eglise, les « mystères douloureux » font mémoire de sa crucifixion, enfin les « mystères glorieux », proclament sa Résurrection. Chaque mystère médité produit des fruits de conversion et de progrès spirituel.